Alouette calandre

Melanocotypha calandra

Description du chant

Selon Jacques Prévost

• Le chant de la Calandre est très semblable à celui de l’Alouette des champs mais un peu plus lent, plus sonore, avec des imitations et des cris de contacts intercalés (voir XC 411153, Stanislas Wroza)

• Le cri de contact est caractéristique: aigu, nasal et roulé on peut le traduire par « krlitr » ou par « tchriyipp »

Selon Oiseaux.net :

Le cri de contact de l'Alouette calandre est sec, roulé et nasillard : "tchrryup, klitrr".

Son chant rappelle celui de l'Alouette des champs mais en plus lent. Elle émet des sons gazouillés et aigus à un rythme rapide. Elle alterne des notes flutées et d'autres à tonalité rauque. Au printemps, les mâles sont très bruyants et chantent fort. Elle est une excellente imitatrice du chant des autres oiseaux.

Comme toutes les alouettes, elle chante surtout en vol mais elle chante aussi posée au sol, ce qui permet de bien voir sa gorge noire et blanche gonflée faisant office de fanion.

On dit de l'Alouette calandre qu'elle grisolle, turlute ou tire-lire.

Cycles du chant

Les cris

Remarques

En Europe de l'Ouest, l'Alouette calandre affectionne les terres ouvertes et arides. On la trouve dans les plaines steppiques, sur les plateaux secs, dans les cultures et les pâtures souvent caillouteuses. Elle n'apprécie pas le désert.

En dehors de la période de reproduction, on en rencontre de petites bandes aussi dans les dépressions salines à végétation arbustive basse.

Le coin de l’expert

Où l'écouter en Isère ?

− Milieu : Méditerranée

Sonogrammes