Fiche PUP
Chant
Ambiance
présente en tous milieux pourvu qu’il y ait des arbres ; le chant est généralement émis d’un perchoir bien en vue
présente en tous milieux pourvu qu’il y ait des arbres ; le chant est généralement émis d’un perchoir bien en vue
toujours en mouvement dans les feuillages; facile à observer, elle ne craint guère la présence proche de l’homme et poursuit sa quête de nourriture en explorant les rameaux.
chant est entendu essentiellement de janvier à fin juin surtout à l’aube, et les mâles émettent alors un chant le plus souvent clair et joyeux, métallique
La plupart du temps on croise cette espèce dans les forêts de conifères
Altitude ~ 250m. Espèce forestière avec une préférence pour les conifères
L'instinct grégaire de l’espèce rassemble les longues-queues en petites troupes et leurs incessants cris de contact indiquent immédiatement leur présence.
chante d'un perchoir bas, plutôt non dominant
La Jardin se tient plus cachée que la Tête noire et elle privilégie plutôt des milieux frais.
La Babillarde fréquente les haies et les buissons ; en mouvement perpétuel, elle se montre moins que la Fauvette grisette
En Haute Montagne
C’est l’oiseau des haies par excellence ; la Grisette est en mouvement perpétuel, et se découvre brièvement au sommet d’un buisson, sur un fil, un rocher. Elle chante soit perchée soit en vol nuptial
Quasi invisible, cachée dans les haies et les buissons touffus près des cours d'eau ou milieux humides, elle réagit souvent à la proximité de l'observateur, donc on l’entend de près
La Verderolle chante souvent cachée, et elle reste difficile à voir dans un fouillis de roselières, buissons ou mégaphorbiaie en montagne
L’Effarvatte chante souvent à découvert sur un roseau dominant
ce chant étonnant émis le plus souvent de la hampe d’une grosse canne sèche
La Cisticole des joncs chante au cours d’un ample vol circulaire (jusqu’à 20-25 m de hauteur)
c’est un habitant de la roselière ; souvent perché en évidence sur roseau dominant, voire branche basse de lisière
Cachée dans la roselière mixte ou le buisson dense cette locustelle est difficile à localiser car elle tourne régulièrement la tête, modifiant ainsi ses émissions sonores.
L’oiseau chante plutôt en roselière pure sur eau libre ; en général, perchée plus en vue que la locustelle tachetée.
L’Hypolaïs polyglotte chante le plus souvent perché mais parfois au cours d’un vol nuptial court avec descente en plané.
Le plus souvent, le merle chante perché, soit haut dans un arbre, soit sur le toit
chante perché en hauteur dans de grands arbres.
chante en général d’un perchoir très haut, le plus souvent au sommet d’un arbre, peu visible car très farouche donc souvent lointaine
strophes courtes de 2 à 4 notes peu élaborés, souvent râpeuses mais aussi parfois plus flûtées, le tout accompagné de gazouillis et de sons rauques, émis en sourdine. Triste, monotone.
Grive musicienne très peu douée
On trouve le merle plastron essentiellement en milieu montagnard (~1690m) ; les observations faites en plaine concernent des oiseaux en cours de migration
chante, caché haut dans les grands arbres, il est quasi invisible.
il préfère les secteurs où il trouve de vieux arbres et évite systématiquement les massifs boisés denses ;
un oiseau essentiellement forestier qui recherche les arbres de grande taille pour creuser une loge qui corresponde à sa taille; la présence de fourmilières est nécessaire à sa présence
dans tous les milieux arborés, même dans les parcs urbains à la seule condition qu’il y trouve un vieil arbre où creuser le trou qui abritera sa nichée ;
Bien que discret et marquant une préférence nette pour le couvert, le zizi chante en général perché haut, bien en vue.
oiseau typique des formations buissonnantes de bordure, on peut entendre le bruant jaune dans les lisières ensoleillées, les haies, les boqueteaux, les taillis, les jeunes plantations
L’oiseau chante généralement perché, bien en vue.
chante en général perché, bien en vue, sur un fil téléphonique par exemple, et dans un milieu ouvert. Il chante également en vol et présente alors ses pattes pendantes
le Véloce chante caché dans le feuillage
chante habituellement caché dans le feuillage.
le Siffleur chante caché dans le feuillage.
chante en général d'un perchoir bas, en principe non dominant, mais souvent bien en vue.
chante bien en vue, perché sur un buisson ou un petit conifère
chante généralement depuis des perchoirs assez élevés et bien en vue, mais un comportement territorial très marqué l’amène régulièrement à survoler son territoire en chantant
est toujours en mouvement dans les feuilles. C’est un tout petit oiseau difficile à observer.
Toujours en mouvement dans les feuilles. Il s’agit d’un tout petit oiseau difficile à observer.
Souvent en groupe, mais aussi isolé ; en principe perché haut. En milieu ouvert, en principe bien en vue
le plus souvent le comportement de chasse de cet oiseau qui attire l'observateur
un babil informe et rapide constitué de trilles, de notes vibrantes et de sifflements, émis dans une tonalité très aiguë. Tonalité typique, les petites notes brèves, mouillées
L’espèce est montagnarde et on la voit chanter sur des arbres et buissons épars dans les prairies d’altitude. Souvent en groupe et se montrent alors très bavards
chante perché dans le feuillage, plutôt assez bas, rarement d'un point dominant.
chantent presque toujours cachés dans un buisson bas
Les chardonnerets sont souvent en groupe et se montrent alors très bavards
belles roulades, de notes flûtées, de trilles, de sons pincés délicats ; aucune suite définie ne l’ordonne. Petites notes brèves « puit » typiques, dissonantes, les trilles très serrés fréquents
très « bavardes » en groupe, mais elles émettent alors une suite de cris qui n'est pas le chant vrai. La Linotte mélodieuse chante perché en vue sur un buisson, un rocher, souvent près du nid
chante en général d'un perchoir haut, bien en vue
Milieu : De la plaine dans les jardins, vergers, lisières de forêts jusqu'à la limite supérieure des forêts : la présence de vieux arbres est indispensable pour la nidification
chante généralement caché haut dans le feuillage
L’oiseau commence généralement son chant depuis un perchoir, souvent la cime d’un arbre, puis il s’élance vers le ciel et égrène sa musique jusqu’au final évoqué ci-dessus.
Le Pipit spioncelle est un oiseau assez démonstratif qui fréquente les alpages, les milieux ouverts entre la limite des arbres et la neige.
La Sittelle torchepot se rencontre dans les forêts de feuillus et mixtes ou dans les parcs et jardins avec de vieux arbres
En général, l’oiseau vole en chantant au dessus des champs, puis tombe rapidement à terre. Moins souvent il chante depuis un promontoire, une motte, un piquet.
Le mâle survole son territoire d'un vol presque vertical en enchaînant courbes et spirales puis il descend sur un arbre, un piquet de clôture, un buisson ou au sol.