suite de 5-8 notes montantes, note finale détachée trainante et « triste »
Bruant jaune
phrase simple, suite de 12-30 notes de tonalité stable, moyennement aiguë
Bruant zizi
chant puissant, varié et mélodieux, avec des coups de gosier très profonds ;souvent en début de séquences des « tiu tiu tiu » longs et isolés précédant un trille brutal
Rossignol philomèle
babil sifflé-flûté avec fréquemment une introduction grinçante
Fauvette à tête noire
trilles caractéristiques avec leurs séries de petites notes serrées ; elles précèdent souvent la note nasillarde et durable « djziu » qui est la signature du verdier chanteur ; viennent s’intercaler régulièrement des séries de 4 à 8 notes plus longues et modulées.
Verdier d’Europe
phrase complexe et stable de tonalité globalement aiguë, composé de notes détachées s'accélérant jusqu'au final
Pinson des arbres
voix calme et forte et son chant est constitué de phrases sifflées improvisées, riches de motifs variés, dans une tonalité plutôt grave
Merle noir
suite de motifs simples répétés de 2 à 4 fois avec de courtes pauses . rythme basé sur la répétition et la variabilité des motifs utilisés
Grive musicienne
2-3 notes formant roulade et émise pendant les phases de déplacement
Pic noir
série de notes en cascades, une sorte de rire très éclatant, énoncé dans une tonalité moyenne
Pic vert
tambourinage est plus long (1.5’’), comporte plus de frappes (26+/-6) (pas d’accélération) ; les pauses entre tambourinages sont courtes
Pic épeichette
martellement est puissant, très sonore ; il est beaucoup plus long (1.5 à 3.5’’) et comporte jusqu’à 30 frappes et plus
Pic noir
8 à 15 frappes (extrêmes 3-18) avec une accélération finale. La durée du tambourinage est comprise entre 0.5 et 0.8’’. les pauses entre tambourinages sont plus longues
Pic épeiche
motif répété “ zewi zewi zewi “ ou bien “uitu uitu uitu” émis toute l’année à l’extrémité d’une branche ou de la cîme d’un arbre
Mésange noire
2-3 (4) notes répétées à l’envi et en désordre « tchip-tchap-tchip-tchap ... »
Pouillot véloce
phrase en deux parties− Une introduction de notes rapides, aigues et peu audibles ;− Puis une série de trémolos plus puissants qui sont la signature de l’espèce
Mésange huppée
phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes (en général 2 à 4 notes par motif)
Mésange charbonnière
phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes de tonalité aiguë et stable, égrenées rapidement sur un rythme régulier : « tui-tui –ti ti ti ti ti »
Mésange bleue
chant type « pipit » mais sans les « tia tia tia » ; de surcroit le chant est plus fin et attaque plus franche, la tonalité aiguë et la puissance assez forte.Ce chant est long : longue phrase d’une note répétée, peu modulée avec des accélérations et des ralentis
Pipit spioncelle
phrase complexe, moyennement aiguë, peu modulée sauf au final ; la cadence est rapide et la puissance est forte. Le final est caractéristique sous la forme « tia – tia- tia »
Pipit des arbres
babil de petites notes, de puissance moyenne, serrées en séquences de 2 à 3’’ à la tonalité aigüe et assez stable, à la cadence rapide, sur un rythme régulier
Accenteur Mouchet
phrase complexe et stable, à la tonalité variable mais globalement aiguë ; l’enchaînement des notes est variable, mêlant trilles et notes détachées
Troglodyte mignon
notes détachées suivies d’un trille et parfois d’un final de quelques notes. quelques notes détachées variables puis le trille en « papier froissé »
Rougequeue noir
phrase improvisée à partir de motifs caractéristiques, sans imitations. C’est une roulade vibrante émise dans une tonalité très aigüe, qui s’achève et se perd dans la limite des ultra-sons
Rougegorge familier
un trille accéléré, très aigue, assez faible et qui porte peu. Il est lent et va s'accélérant
Roitelet triple-bandeau
phrase complexe qu’on peut décomposer en 3 parties, sachant que les parties 1 et 2 peuvent manquer.− Une introduction formée de quelques notes très serrées ;− Un motif répété plusieurs fois (3-6 fois voire plus) ;− Une fioriture finale de forme variable.
Roitelet huppé