une espèce de ronronnement continu (coupé de courtes pauses) dont la durée varie de 1 à 5 mn. ponctue ce « ronron » par des cris d’une tonalité plus grave
phrase simple limitée à 2-4 notes, le plus souvent 3, répétées sur une tonalité basse et sourde, très « humaine » et qui porte loin. « oup-oup-oup-oup »
2.
Un truc : ce chant fait penser à un trousseau de clés qu’on agite
3.
série de notes en cascades, une sorte de rire très éclatant, énoncé dans une tonalité moyenne
4.
2-3 notes formant roulade et émise pendant les phases de déplacement
5.
martellement est puissant, très sonore ; il est beaucoup plus long (1.5 à 3.5’’) et comporte jusqu’à 30 frappes et plus
6.
8 à 15 frappes (extrêmes 3-18) avec une accélération finale. La durée du tambourinage est comprise entre 0.5 et 0.8’’. les pauses entre tambourinages sont plus longues
7.
tambourinage est plus long (1.5’’), comporte plus de frappes (26+/-6) (pas d’accélération) ; les pauses entre tambourinages sont courtes
8.
Chant extraordinaire, d'une richesse exceptionnelle : essentiellement constitué d'imitations, on s'attachera à repérer le foisonnement d'expressions musicale
9.
Suite de motifs constitués de notes plus ou moins grinçantes en discours continu avec parfois quelques imitations et improvisations, l’ensemble formant une ritournelle qu’on pourrait simplifier par « cri cri cracracra cri cracra … »
10.
la phrase est simple, explosive et elle s’arrête aussi brutalement qu’elle a débuté ; quelques notes puissantes en coups de sifflet et c'est fini
11.
phrase improvisée à partir de motifs caractéristiques, sans imitations. C’est une roulade vibrante émise dans une tonalité très aigüe, qui s’achève et se perd dans la limite des ultra-sons
12.
phrase complexe qu’on peut décomposer en 3 parties, sachant que les parties 1 et 2 peuvent manquer.− Une introduction formée de quelques notes très serrées ;− Un motif répété plusieurs fois (3-6 fois voire plus) ;− Une fioriture finale de forme variable.
13.
un trille accéléré, très aigue, assez faible et qui porte peu. Il est lent et va s'accélérant
14.
notes détachées suivies d’un trille et parfois d’un final de quelques notes. quelques notes détachées variables puis le trille en « papier froissé »
15.
phrase complexe et stable, à la tonalité variable mais globalement aiguë ; l’enchaînement des notes est variable, mêlant trilles et notes détachées
16.
babil de petites notes, de puissance moyenne, serrées en séquences de 2 à 3’’ à la tonalité aigüe et assez stable, à la cadence rapide, sur un rythme régulier
17.
phrase simple, suite de 12-30 notes de tonalité stable, moyennement aiguë
18.
suite de 5-8 notes montantes, note finale détachée trainante et « triste »
19.
phrase complexe et stable de tonalité globalement aiguë, composé de notes détachées s'accélérant jusqu'au final
20.
2-3 (4) notes répétées à l’envi et en désordre « tchip-tchap-tchip-tchap ... »
21.
magnifique et incomparable chant flûté « Didelio … didlio », et l’identification en est rendu facile. On peut imiter son chant assez facilement en sifflant
22.
trilles caractéristiques avec leurs séries de petites notes serrées ; elles précèdent souvent la note nasillarde et durable « djziu » qui est la signature du verdier chanteur ; viennent s’intercaler régulièrement des séries de 4 à 8 notes plus longues et modulées.
23.
phrase complexe, moyennement aiguë, peu modulée sauf au final ; la cadence est rapide et la puissance est forte. Le final est caractéristique sous la forme « tia – tia- tia »
24.
chant type « pipit » mais sans les « tia tia tia » ; de surcroit le chant est plus fin et attaque plus franche, la tonalité aiguë et la puissance assez forte.Ce chant est long : longue phrase d’une note répétée, peu modulée avec des accélérations et des ralentis
25.
phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes (en général 2 à 4 notes par motif)
26.
phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes de tonalité aiguë et stable, égrenées rapidement sur un rythme régulier : « tui-tui –ti ti ti ti ti »
27.
motif répété “ zewi zewi zewi “ ou bien “uitu uitu uitu” émis toute l’année à l’extrémité d’une branche ou de la cîme d’un arbre
28.
phrase en deux parties− Une introduction de notes rapides, aigues et peu audibles ;− Puis une série de trémolos plus puissants qui sont la signature de l’espèce
29.
babil sifflé-flûté avec fréquemment une introduction grinçante
30.
suite de motifs simples répétés de 2 à 4 fois avec de courtes pauses . rythme basé sur la répétition et la variabilité des motifs utilisés
31.
voix calme et forte et son chant est constitué de phrases sifflées improvisées, riches de motifs variés, dans une tonalité plutôt grave
32.
chant puissant, varié et mélodieux, avec des coups de gosier très profonds ;souvent en début de séquences des « tiu tiu tiu » longs et isolés précédant un trille brutal
33.