2-3 (4) notes répétées à l’envi et en désordre « tchip-tchap-tchip-tchap ... »
phrase complexe et stable de tonalité globalement aiguë, composé de notes détachées s'accélérant jusqu'au final
phrase complexe et stable, à la tonalité variable mais globalement aiguë ; l’enchaînement des notes est variable, mêlant trilles et notes détachées
notes détachées suivies d’un trille et parfois d’un final de quelques notes. quelques notes détachées variables puis le trille en « papier froissé »
trilles caractéristiques avec leurs séries de petites notes serrées ; elles précèdent souvent la note nasillarde et durable « djziu » qui est la signature du verdier chanteur ; viennent s’intercaler régulièrement des séries de 4 à 8 notes plus longues et modulées.
voix calme et forte et son chant est constitué de phrases sifflées improvisées, riches de motifs variés, dans une tonalité plutôt grave
phrase improvisée à partir de motifs caractéristiques, sans imitations. C’est une roulade vibrante émise dans une tonalité très aigüe, qui s’achève et se perd dans la limite des ultra-sons
chant puissant, varié et mélodieux, avec des coups de gosier très profonds ;souvent en début de séquences des « tiu tiu tiu » longs et isolés précédant un trille brutal
suite de motifs simples répétés de 2 à 4 fois avec de courtes pauses . rythme basé sur la répétition et la variabilité des motifs utilisés
babil sifflé-flûté avec fréquemment une introduction grinçante
phrase simple, suite de 12-30 notes de tonalité stable, moyennement aiguë
suite de 5-8 notes montantes, note finale détachée trainante et « triste »
phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes de tonalité aiguë et stable, égrenées rapidement sur un rythme régulier : « tui-tui –ti ti ti ti ti »
phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes (en général 2 à 4 notes par motif)
2-3 notes formant roulade et émise pendant les phases de déplacement
8 à 15 frappes (extrêmes 3-18) avec une accélération finale. La durée du tambourinage est comprise entre 0.5 et 0.8’’. les pauses entre tambourinages sont plus longues
martellement est puissant, très sonore ; il est beaucoup plus long (1.5 à 3.5’’) et comporte jusqu’à 30 frappes et plus
tambourinage est plus long (1.5’’), comporte plus de frappes (26+/-6) (pas d’accélération) ; les pauses entre tambourinages sont courtes
série de notes en cascades, une sorte de rire très éclatant, énoncé dans une tonalité moyenne