suite de 5-8 notes montantes, note finale détachée trainante et « triste »
1
phrase simple, suite de 12-30 notes de tonalité stable, moyennement aiguë
2
chant puissant, varié et mélodieux, avec des coups de gosier très profonds ;souvent en début de séquences des « tiu tiu tiu » longs et isolés précédant un trille brutal
3
babil sifflé-flûté avec fréquemment une introduction grinçante
4
trilles caractéristiques avec leurs séries de petites notes serrées ; elles précèdent souvent la note nasillarde et durable « djziu » qui est la signature du verdier chanteur ; viennent s’intercaler régulièrement des séries de 4 à 8 notes plus longues et modulées.
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phrase complexe et stable de tonalité globalement aiguë, composé de notes détachées s'accélérant jusqu'au final
6
voix calme et forte et son chant est constitué de phrases sifflées improvisées, riches de motifs variés, dans une tonalité plutôt grave
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suite de motifs simples répétés de 2 à 4 fois avec de courtes pauses . rythme basé sur la répétition et la variabilité des motifs utilisés
8
2-3 notes formant roulade et émise pendant les phases de déplacement
9
série de notes en cascades, une sorte de rire très éclatant, énoncé dans une tonalité moyenne
10
tambourinage est plus long (1.5’’), comporte plus de frappes (26+/-6) (pas d’accélération) ; les pauses entre tambourinages sont courtes
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martellement est puissant, très sonore ; il est beaucoup plus long (1.5 à 3.5’’) et comporte jusqu’à 30 frappes et plus
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8 à 15 frappes (extrêmes 3-18) avec une accélération finale. La durée du tambourinage est comprise entre 0.5 et 0.8’’. les pauses entre tambourinages sont plus longues
13
motif répété “ zewi zewi zewi “ ou bien “uitu uitu uitu” émis toute l’année à l’extrémité d’une branche ou de la cîme d’un arbre
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2-3 (4) notes répétées à l’envi et en désordre « tchip-tchap-tchip-tchap ... »
15
phrase en deux parties− Une introduction de notes rapides, aigues et peu audibles ;− Puis une série de trémolos plus puissants qui sont la signature de l’espèce
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phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes (en général 2 à 4 notes par motif)
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phrase simple, un peu mécanique, limitée à quelques notes de tonalité aiguë et stable, égrenées rapidement sur un rythme régulier : « tui-tui –ti ti ti ti ti »
18
chant type « pipit » mais sans les « tia tia tia » ; de surcroit le chant est plus fin et attaque plus franche, la tonalité aiguë et la puissance assez forte.Ce chant est long : longue phrase d’une note répétée, peu modulée avec des accélérations et des ralentis
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phrase complexe, moyennement aiguë, peu modulée sauf au final ; la cadence est rapide et la puissance est forte. Le final est caractéristique sous la forme « tia – tia- tia »
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babil de petites notes, de puissance moyenne, serrées en séquences de 2 à 3’’ à la tonalité aigüe et assez stable, à la cadence rapide, sur un rythme régulier
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phrase complexe et stable, à la tonalité variable mais globalement aiguë ; l’enchaînement des notes est variable, mêlant trilles et notes détachées
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notes détachées suivies d’un trille et parfois d’un final de quelques notes. quelques notes détachées variables puis le trille en « papier froissé »
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phrase improvisée à partir de motifs caractéristiques, sans imitations. C’est une roulade vibrante émise dans une tonalité très aigüe, qui s’achève et se perd dans la limite des ultra-sons
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un trille accéléré, très aigue, assez faible et qui porte peu. Il est lent et va s'accélérant
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phrase complexe qu’on peut décomposer en 3 parties, sachant que les parties 1 et 2 peuvent manquer.− Une introduction formée de quelques notes très serrées ;− Un motif répété plusieurs fois (3-6 fois voire plus) ;− Une fioriture finale de forme variable.
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